Burson Audio : des électroniques qui vont bien avec…
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Il est des moments où la pluie bretonne est source de rencontres et d’échanges cordiaux. Que faire d’autre que s’enfermer pour écouter …
Temps atrocement breton, donc, ce mercredi après-midi, 24 février 2016.
L’occasion de faire chauffer les petites cheminées éthanol de la pièce d’écoute.

Les hasards sont ce qu’ils sont : visite concomitante de bretons de souche installés près de Morlaix, et d’un couple normand ayant une résidence « subsidiaire » près de … Morlaix.
Au programme : écoute de mes amplis à lampes avec le caisson pour les normands, et essais des électroniques Burson Audio pour les bretons. De quoi bien se faire plaisir.

Je passe assez vite sur l’écoute du système habituel. Kophos, membre de living-leedh, trouvera (il est lui-même possesseur de E2 et d’électroniques Revar équipées de KT150) qu’avec le caisson,la scène est plus ouverte, douce, naturelle, etc… Air connu des tous les possesseurs de caisson 20.1.
Il est donc convaincu de l’intérêt de la chose.Reste pour lui un problème de place.

Après un thé/bière bretonne sans crêpes, nous retournons. Les Burson Audio doivent être suffisamment chauds. Il a fallu tout démonter pour installer : le préampli/Dac/ampli casque Burson, et 2 blocs stéréo Burson que nous avons l’intention d’essayer en mode bridgé. (2x 600 w sous 4 ohms, nous dit la notice). Sources : démat ou CD ou vinyle.
Quelques problèmes techniques (résolus à ce jour), nous empêcherons d’exploiter totalement le mode bridgé.
Aussi nous revenons sur un seul bloc (2×200 w/4 ohms).
Très vite, nous abandonnons la sortie analogique de mon CD Primaluna Prologue 8 pour attaquer le Dac du préampli (SPDIF/75 ohms), nettement plus performant (puce Usabre).

Une vraie découverte pour moi de ces électroniques australiennes (je vous passe les blagues possible autour des Kangourous,y’a gourou dedans) qui drivent d’une façon magistrale les E2 (caisson non raccordé : pas d’adaptateur en Y pour la sortie préampli).
De la dynamite. Décoiffant, au sens littéral du terme. Du punch à revendre sans avoir un côté montant désagréable. Je laisse-là les poncifs habituels, mais ces électroniques rejoignent le club de celles qui vont bien avec les Leedh.
La nuit tombe (et la pluie encore aussi).
Nous convenons de refaire, avec cette fois-ci les amplis bridgés et le caisson. Je n’ose imaginer …
Et merci à Michel et Jacques pour avoir fait l’effort de tout démonter chez eux. Nous les voyons souvent sur les salons, passer une paire d’heures au stand de Gilles Milot, où nous nous sommes rencontrés.
Et Michel qui n’est pas venu les mains vides : pas de crêpes ou de bouteilles de cidre, mais quelques condensateurs russes de derrière les fagots et une petite vingtaine de mètres d’un câble à essayer sur le secteur, en ligne directe du tableau. Blindé et argenté …
Jaloux ?
NB : depuis, nos amis normands sont devenus les heureux possesseurs comblés d’un caisson, qui s’intègre parfaitement au paysage.

• Ce sujet a été modifié le il y a 8 années par livingleedh.
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